Notre grande faiblesse en RDC est de ne pas savoir gérer nos ressources. Qu’elles soient naturelles, humaines, technologiques, spirituelles, financières ou autres, nous les dilapidons.
Nous sommes, dans le cadre du Projet 2014, dans une phase d’accompagnement de beaucoup de nos ASBL, ONG et coopératives investies dans le développement local pour l’apprentissage d’une gestion améliorée de nos ressources.
Quelques mois de travail méticuleux nous permet de dire que les compétences manquent cruellement et nous devons tous nous former, nous mettre au travail pour être compétitifs. Il est normal que les pays limitrophes du nôtre nous fassent peur dans ces conditions. En revanche, si nous prenons le contrôle de notre destinée en main, les choses peuvent vite changer. Le seul problème qu’il y a est la lenteur de plusieurs d’entre nous de se mettre à la besogne.
Puissions-nous, partout, dans la RDC nous lever, pour rapidement nous mettre à la commande : l’imposture disparaîtra du coup et nous n’auront plus à poser la question de l’effectivité du pouvoir de notre Président élu : mais celui de la pacification et de la prospérité de notre pays.
