Manioc : quelles utilité et conditions ?


Qui sont les spécialistes noirs qui valident ou invalident la nocivité du manioc, dans le monde ?

Il existe plusieurs spécialistes qui étudient les maladies et la toxicité du manioc, notamment en Afrique où cette plante est une source essentielle de nourriture. Par exemple, Dr Justin Pita, directeur exécutif du programme West African Virus Epidemiology (WAVES), travaille sur les maladies virales du manioc, comme la mosaïque africaine et la striure brune, qui peuvent causer des pertes de rendement allant jusqu’à 100%.

Un autre expert, Claude Fauquet, chercheur au Centre international d’agriculture tropicale (CIAT), a contribué à la lutte contre la striure brune du manioc, une maladie qui rend les racines noires et impropres à la consommation.

Si tu cherches des spécialistes noirs en particulier, il pourrait être intéressant de consulter des instituts africains spécialisés en agronomie et en sécurité alimentaire. Veux-tu que je t’aide à trouver des chercheurs spécifiques ?

Quels sont les derniers travaux de recherche sur le manioc ?

Voici quelques recherches récentes sur le manioc :

  • Amélioration génétique : Des chercheurs ont identifié de nouvelles variétés de manioc résistantes aux maladies comme la striure brune et la mosaïque du manioc. Ces variétés présentent aussi une meilleure teneur en provitamine A43dcd9a7-70.
  • Agronomie et gestion des sols : Des études ont été menées pour optimiser la fertilité des sols et améliorer la productivité du manioc, notamment en Asie du Sud-Est et en Amérique Latine.
  • Transformation du manioc : Une thèse récente explore l’impact de la variété et des conditions environnementales sur la transformation du manioc par rouissage, un procédé clé pour la qualité des produits dérivés.
  • Sécurité alimentaire et nutrition : Des recherches portent sur la biofortification du manioc pour lutter contre les carences en vitamine A, qui touchent des millions de personnes en Afrique subsaharienne.

Le manioc rend-il bête, idiot ?

Le manioc, lorsqu’il est mal transformé, peut contenir des niveaux élevés de cyanure, une substance toxique qui peut avoir des effets neurotoxiques. Ces effets sont particulièrement préoccupants dans les régions où le manioc constitue une grande partie de l’alimentation quotidienne.

Cependant, avec des méthodes de préparation appropriées, comme le rouissage et la fermentation, la teneur en cyanure peut être réduite, rendant le manioc sûr à consommer.

Il est important de noter que les affirmations selon lesquelles le manioc « rend bête » sont souvent exagérées ou mal interprétées. Les déficiences cognitives observées dans certaines populations sont généralement liées à une consommation excessive de manioc mal transformé, combinée à des carences nutritionnelles.

Quelle est la dose raisonnable du cyanure tolérable dans l’alimentation humaine ?


Quelle est la dose rencontrée dans une alimentation au manioc mal préparé ?

La dose tolérable de cyanure dans l’alimentation humaine varie selon les organismes de santé. En général, la dose létale de cyanure est estimée entre 0,5 et 3,0 mg par kilogramme de poids corporel. Cela signifie qu’une exposition excessive peut être dangereuse.

Concernant le manioc, il existe deux types : doux et amer. Le manioc doux contient généralement moins de 50 mg de cyanure par kilogramme, tandis que le manioc amer peut dépasser 50 mg par kilogramme. Une mauvaise préparation peut laisser des niveaux élevés de cyanure, augmentant le risque d’intoxication. Heureusement, des méthodes comme le trempage prolongé et la cuisson permettent de réduire considérablement cette toxicité.

Quels sont les conseils sur la meilleure façon de préparer le manioc pour éviter tout risque, je peux t’aider !

La dose tolérable de cyanure dans l’alimentation humaine varie selon les organismes de santé. En général, la dose létale de cyanure est estimée entre 0,5 et 3,0 mg par kilogramme de poids corporel.

Cela signifie qu’une exposition excessive peut être dangereuse, voire mortelle.

Concernant le manioc, il existe deux types : doux et amer. Le manioc doux contient généralement moins de 50 mg de cyanure par kilogramme, tandis que le manioc amer peut dépasser 50 mg par kilogrammé.

Une mauvaise préparation peut laisser des niveaux élevés de cyanure, augmentant le risque d’intoxication. Heureusement, des méthodes comme le trempage prolongé et la cuisson permettent de réduire considérablement cette toxicité.

Une façon de préparer le manioc pour éviter tout risque existe

Pour préparer le manioc en toute sécurité et éviter les risques liés à sa toxicité, voici les étapes essentielles43dcd9a7-70db-4a1f-b0ae-981daa16205443dcd9a7-70db-4a1f-b0ae-981daa162054 :

  1. Épluchage : Retire la peau épaisse du manioc, car elle contient des composés cyanogénétiques.
  2. Trempage : Fais tremper les morceaux de manioc dans de l’eau pendant 12 à 24 heures pour réduire la teneur en cyanure.
  3. Cuisson : Fais bouillir ou cuire à la vapeur le manioc jusqu’à ce qu’il soit tendre. La chaleur détruit une grande partie des toxines.
  4. Fermentation (optionnelle) : Dans certaines cultures, le manioc est fermenté pour améliorer sa digestibilité et éliminer davantage de cyanure.
  5. Séchage et transformation : Pour les produits dérivés comme la farine de manioc, le séchage prolongé aide à réduire les résidus toxiques.

Ces méthodes garantissent une consommation sûre du manioc tout en préservant ses qualités nutritionnelles.

Quelles sont les qualités nutritionnelles du manioc ?

Le manioc est une source importante de glucides et d’énergie, particulièrement dans les régions tropicales. Voici ses principales qualités nutritionnelles :

  • Riche en glucides : Environ 36 à 38 g de glucides pour 100 g, ce qui en fait un aliment énergétique.
  • Faible en protéines et lipides : Il contient environ 1,3 g de protéines et 0,3 g de lipides par 100.
  • Source de fibres : Avec 1,8 g de fibres pour 100 g, il contribue à la digestion.
  • Vitamines et minéraux : Il apporte du potassium (271 mg), du magnésium (21 mg) et des vitamines du groupe B, notamment la vitamine B3 (niacine) et la vitamine C (20,6 mg).
  • Indice glycémique modéré : Son indice glycémique est de 15, ce qui le rend adapté à une alimentation équilibrée.

Bien que le manioc soit nutritif, il est essentiel de bien le préparer pour éviter les risques liés aux composés cyanogénétiques.

Jean Paul Pougala


Tel que reçu d’un contact WhatsApp.

LE MANIOC REND BÊTE !

C’est le titre de la conférence publique gratuite que j’ai donnée ici à Paris hier 1er avril 2025.

C’est ce genre de diaspora qui nous intéresse pour la bataille de la conquête de notre liberté, qui est la nôtre.

LE MANIOC REND BÊTE !

C’est très sérieux. Le terme exact utilisé par l’Organisation Mondiale de la Santé (Oms) s’appelle Crétinisme ! La consommation excessive du manioc crée chez l’humain, le Crétinisme.

Des études menées depuis les années 1970, 1980 et publiées dans des conférences publiques, notamment au Canada démontrent que dans des zones de l’ancien Zaïre, aujourd’hui, République Démocratique du Congo, on a des zones entières où des pourcentages importants de la population sont devenus bêtes à cause de l’alimentation presqu’exclusive au manioc.

Et comme l’intellectuel africain est toujours Hors Sujet, pour célébrer Jésus et Allah ou ses pseudo ancêtres Égyptiens, il est du coup complètement absent des enjeux de survie de la race noire, qu’on a exprès voulu rendre bête.

Depuis 11 ans, nous débutons toutes nos formations des Nouveaux Industriels Africains (Rinvindaf), par un thème : « Les ingrédients alimentaires » dont le premier sur la liste est un produit africain, parce que né en Afrique : la levure, que les romains ont importée, dénommée Lievito du verbe lievitare qui veut dire « monter », faire gonfler.

On peut donc dire que ce sont les africains qui ont inventé la boulangerie moderne. Il s’agissait notamment de faire monter le blé. Un produit à cycle court.

Question : Par quelle alchimie, les européens qui ont importé le blé d’Afrique ont réussi à convaincre les africains d’abandonner le blé, produit à cycle court, 14 tonnes à l’hectare tous les 3 mois, par un produit toxique, dangereux et qui rend bête, le Manioc, produit à cycle long, 2 à 4 tonnes à l’hectare tous les 12 mois ?

A cette question, je n’ai pas de réponse, mais je me pose une autre question : est-ce qu’avec le temps, à force de consommer le manioc, nous sommes encore des êtres humains normaux ?

La consommation excessive du manioc rend bête !

Selon les propos même de l’OMS et vous trouverez sur internet, et même à travers les instruments d’intelligence artificielle collé DeepSeek ou ChqtGpt d’abondantes littératures là dessus surtout de la part des chercheurs indiens, srilankais, mais aussi colombiens ou mexicains, qui font que partout ailleurs sauf en Afrique, la culture du manioc est essentiellement destinée à plusieurs applications industrielles et à la consommation animale, mais très marginalement à la consommation humaine.

Le manioc rend bête !

Et le pire est que les européens le savent depuis deux siècles. Et c’est la principale raison pour laquelle, ils l’ont destinée en premier lieu à la consommation des esclaves notamment à Haïti.

A mon avis, le plus grave n’est pas qu’ils soient au courant depuis deux siècles et que c’est l’une des principales cultures dont la Banque Mondiale, le Fond Monétaire International (FMI) et l’Union Européenne financent son développement en Afrique subsahélienne, avec la complicité des politiciens africains, des intellectuels africains qui sont tous vent debout contre la Chine et la Russie, mais muets, complices pour la plus grande œuvre de destruction massive d’un peuple après la mise en esclavage des Noirs qui a duré 4 longs siècles.

Les européens ont ramené d’américain du sud durant leurs conquêtes coloniales trois choses : la pomme de terre, la banane et le manioc.

Il n’y a que le poison qu’on partage généreusement sans en prendre soi-même et le manioc fait partie de ces poisons.

Pensée critique : pourquoi aucun africain, jusqu’à ce que Pougala arrive ne s’est jamais demandé pourquoi ils n’ont consommé que la pomme de terre et la banane et jamais le manioc, qu’eux aussi destinent au textile ou à d’autres applications, et même à la consommation animale, mais jamais pour la consommation humaine ?

Les industriels africains que nous formons à la Pougala Academy ne doivent pas se limiter à produire la richesse ou à produire à manger pour le peuple africain, mais prendre conscience du fait que l’Afrique est en guerre pour sa survie d’humains libres et intelligents.

Mon frère camerounais Kelman avait écrit il y a une quinzaine d’années un livre intitulé :

« Je suis Noir et je ne mange pas le manioc »‘

Il dénonçait déjà à l’époque, le fait qu’on a volontairement poussé les noirs d’Afrique à faire du manioc, une tradition culinaire authentique populaire africaine. Etre noir devait forcément signifier aimer le manioc, manger le manioc. Ce qu’il réfutait.

Le pire dans tout cela est qu’on pousse les noirs à avoir comme tradition identitaire, le manioc, alors que les sud-américains qui connaissent depuis des siècles les effets de la toxicité de ce même manioc, notamment avec la présence de l’un des plus puissants poisons au monde qu’est le cyanure, n’en mangent que de façon très marginale comme sous forme de chips.

Il était loin d’imaginer que le plus grave était le fait que cette culture qu’on a exprès imposée aux africains d’Afrique Centrale et Occidentale contribue à rendre la masse populaire, jusqu’aux dirigeants incapables de profondes pensées critiques, Pensées Complexes, mais aussi Pensées Globales qui sont au cœur de toutes nos formations.

C’est cette lutte existentielle qui est au cœur de la formation des Nouveaux Industriels Africains de la Pougala Academy qui débute demain le jeudi 3 avril 2025, à l’hôtel Hilton de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle ici à Paris.

Vous pouvez investir tout l’argent du monde, mais si vous avez oublié d’investir prioritairement sur l’éducation de vos enfants pour les rendre moins bêtes que la masse, ou tout simplement plus intelligents, pour prendre la relève le moment venu, tout cela n’aura servi à rien.

Une usine, l’industrie est l’un des rares secteurs d’activité qui s’inscrit dans une logique de traverser plusieurs générations. Quand vous lisez Gucci sincère 1885, c’est bien la preuve que la fortune de Gucci a traversé plusieurs générations.

Maintenant, non seulement nous devons créer notre propre fortune, grâce à l’industrie, mais aussi penser à la transmettre.

Autant programmer votre propre transmission générationnelle en programmant la transmission de votre fortune à des enfants que vous-mêmes aurez contribué à travers une bonne éducation d’excellence à rendre intelligents.

Bienvenue au Rinvindaf !

Le seul collectif qui ne se limite pas à réinventer l’Afrique de demain avec la bouche, mais sur le terrain avec les actions et les réalisations concrètes.

Jean Paul Pougala