Un développement endogène…


La RDC est au bord du chaos.  C’est le résultat de la présence onusienne dans le pays depuis les années 90.

Le monde associatif travaille avec des moyens trop modestes : 10.000 à 100.000 $/an comme budget par projet.  C’est trop peu.

Que faut-il faire et comment ?  La conversation qui suit est une réflexion introductive.

[11:49:34] EML: Les stratégies pour pérenniser les projets consistent tout d’abord au gestionnaires de prendre de bonnes décisions financières de financement c’est à dire de faire une comparaison entre les couts d’investissement et les résultats de financement.

[11:54:40] EML: une accroissement est mesurable quand nous voyons concrète une valeur ajouté qui change le niveau de vie du point de vu alimentation (deux fois par jours alors qu’auparavant une seule fois et encore difficilement), éducation set scolarisation de ses enfants par les moyens qu’il puisse dans les projets ou en travers les formations que l’organisme à transmis dans sa personne, être capable d’initier des micro activités génératrices de revenus…. abandon d’une vie de mendicité, de vol et pillages….

[11:57:14] EML: Bien sur sachez que ici chez nous la culture electronique c’est à dire de site web, il n y en a pas beaucoup mais cela viendra avec le temps. Toutefois, nos activites sont dans differents rapports avec meme des photos et realisations. Je vais demander au secretaire de terminer la saisie pour vous les transferer.

[13:20:23] GPAU: Merci, EML.

[13:23:29] GPAU: C’est clair, juste et net pour ces lignes.

Merci déjà pour les rapports que je lirai avec toute l’attention voulue.

Je vous proposerai après lecture le principe, réussir les projets à 100-1.000-10.000-100.000-1.000.000-10.000.000 et ne pas s’arrêter de travailler 14 heures par jours avant de n’avoir atteint les 10.0000.0000 $/an comme budget d’un projet spécifique !

[13:24:39] GPAU: Le développement du Congo demande, au moins, 1425 milliards par an de budget national. Nous n’en sommes qu’à 9 à peine.

[13:27:18] GPAU: Pour nous, du monde associatif, avoir du poids, c’est être dans les 1% du budget national ? Ce serait donc mobiliser 14,25 milliards par an pour une cause (Enfance, personnes isolées ou sans qualification, chômeurs, santé publique, enseignement, culture, art, transport, technologie)…

[13:27:49] GPAU: Avec 10 millions, nous n’en seront qu’au millième de l’objectif à viser !