Mon pays est peu sûr et effraie les investisseurs, tant internes qu’externes. Sa croissance est compromise, sa population dépérit, quand bien-même les pilleurs s’enrichissent énormement.
Les salaires pratiqués dans tout le pays sont esclavagistes (Cultivateur : 8.700 CDF/jour) ou injustes (Parlementaire : 2.720.454 CDF/jour).
Continuer à cette allure, sans hisser les bas salaires ni baisser les hauts salaires, n’autorise aucun espoir de pacification ni de développement harmonious de notre pays. Que le pouvoir menace, que le gouvernement brutalise, que l’église drogue : la pauvreté et l’insécurité, chez le plus grand nombre, croîtrons et perpétuerons la guerre civile.
Personne, au pouvoir, au sein du gouvernement, tout comme dans l’opposition factice, ne veut nous suivre dans nos conseils : 1. hisser les bas salaires à 428.500 CDF/jour, 2. baisser les hauts salaires à 2.210.500 CDF/jour et 3. porter l’impôt à 57%.
Objectifs : enrichir le congolais pour accroître sa compétitivité, ajouter à la justice pour réduire la rébellion, sécuriser financièrement et socialement le congolais jusqu’à sa mort.
L’impact sera :
– le retour de plusieurs cerveaux dans le pays, pour booster le développement ;
– la fin rapide de l’insécurité dans le pays, l’accélération de la croissance sociale, culturelle, économique, politique ;
– la désesclavagisation du pays, sa décolonisation, sa démocratisaion, sa libération, sa pacification, son unification, sa modernisation, son humanisation…
Pour que cela soit possible, il faut une éducation libératrice, intensive et massive ; par toutes les voies qu’offrent les nouvelles technologies disponibles, mais sous exploitées (télécommunications, internet) ou mal utilisées (médias).
Dans le cadre de l’EAE ASBL, nous étudions comment déployer un réseau de Centres de Formations et de Conférences, les CFC, pour appuyer le système éducatif national de manière tangible et significative, en mobilisant les ressources internes, pour responsabiliser.
