Lorsque dans un pays vous voyez des étrangers se multiplier et prendre le pouvoir, il faut comprendre que ce peuple là est paresseux et complexé. C’est notre cas nous congolais depuis l’esclavage. De même, lorsque dans un pays vous voyer des femmes aller à l’armée, dites-vous bien que les hommes y porte des jupons et que le pays ne survivra plus face aux ennemis machos.
La même situation se passe en Belgique où les autochtones fuient leur terroir pour se terrer dans les villages tandis que les étrangers prennent allégrement place pour diriger la cité progressivement. Les hommes démissionnent pour laisser tout l’enseignement des enfants aux femmes. Les conséquences sont là, les jeunes garçons envoient tout simplement leurs pauvres mères aux services PMS « Psycho-Médico-Sociaux » pour adultes de nos hopitaux et n’ont plus grand-chose dans les têtes.
Dire ceci n’est pas manquer d’esprit humaniste, ni verser dans un racisme ou dans un tribalisme suicidaire. C’est en revanche reconnaître qu’au fond, chacun devrait être bien chez lui et à son poste ; pour mettre ses compétences au service des siens et de sa nation. Le défaut de sécurité chez soi est ce qui pousse certaines personnes à l’exil. La crème finit par s’en aller. Le reste, peut alors être manipulé, dominé, asservi à souhait ! C’est la politique de la table raz. Les congolais n’ont pas compris, à l’époque du MPR, qu’ils alignaient les piètres au pouvoir et envoyaient à l’exil la crème qui s’y opposaient farouchement pourtant. Aujourd’hui, la crème est à l’étranger à cause de l’entêtement de la foule. Les quelques patriotes qui sont encore dans le pays sont presque sans soutien et doivent se plier ou accepter la potence. Durant les 4 ans qui nous séparent de 2016, beaucoup d’autres congolais sont dans le devoir de suivre les pas du Dr Denis Mukwege. Il a tenu, mais il finit par se rendre à l’évidence : le pire ennemi du congolais n’est pas le rwandais ; c’est le congolais lui-même !
Métis, blanc, jaune au pouvoir au Congo, ce n’est plus d’aujourd’hui. Les bantous, les soudanais, les nilotes, les pygmées et qui sais-je encore d’autres, démissionnent journellement sous nos yeux. Ceux qui veulent faire de bonnes affaires, trouvent un terrain facile : prenne le devant et produisent de l’argent, beaucoup de sous, qu’ils investissent, tout naturellement, ailleurs qu’au Congo. Qui sait si les « autochtones » ne se réveilleront pas un jour et pour pratiquer la chasse aux sorcières comme tentent de le faire en vain – jusqu’ici en tout cas – les combattants et les résistants. Que la gente congolaise soit menacée d’extinction est donc un processus voulu par nous congolais. Ou sont en effet les efforts que nous déployerions pour la survie de notre espèce ?
Où se trouve la vraie solution à la colonisation de la RDC ?
Notre analyse, notre observation nous confortent dans notre proposition de départ (Décembre 1999, http://www.paluku.net/2014) :
1° identifier et promouvoir nos vrais leaders est ce qui prime à vouloir faire la guerre pendant que l’on ne sait même pas acheter un canif.
2° gérer notre développement endogène et intégral par projet, sous la houlette de ces leaders, présentent de nombreux avantages par rapport à une lutte armée mal préparée et une dictature qui n’apporte que désolations sur désolations.
A bon entendeur, salut !
De : Louise Sibalingana [mailto:louisekisokolo@yahoo.fr]
Envoyé : vendredi 2 novembre 2012 12:05
À : Graphèle Paluku-Atoka Uwekomu
Objet : Tr : [vathunga] Un BLANC , gouverneur de la Province Orientale
—– Mail transféré —–
De : Cléophas LYANZALA <cleophaslyanzala@gmail.com
À : vathunga@yahoogroups.com
Envoyé le : Vendredi 2 novembre 2012 8h43
Objet : Re: [vathunga] Un BLANC , gouverneur de la Province Orientale
Les politiciens congolais de carrières sont incapables de penser res-publica, ils sont nuls en management et se fichent de la bonne gouvernance. Je crois qu’on peut compter sur ces transfuges du monde des affaires pour « montrer le chemin » …
P.S. Un exemple. Le fameux Kyungu wa Kumwanza possède maintenant une entreprise privée de transport international (ça s’appelle POURQUOI PAS) à l’instar de Katumbi avec son HAKUNA MATATA. Deux sociétés qui ont la priorité sur le marché juteux du transport des minerais et jouissent d’une impunité totale vis à vis des pouvoirs publics. Avec ça il peut envisager l’avenir avec plus de sérénité au lieu de s’accrocher mordicus au pouvoir. Selon les rumeurs, les premiers camions de sa société lui avaient été donné gracieusement par Katumbi !
Le 01/11/12, Cléophas LYANZALA<cleophaslyanzala@gmail.com a écrit :
Les boyomais ont dorénavant leur Moïse Katumbi. Espérons qu’il sera à la hauteur à l’instar de son homologue katangais plebiscité par sa population au delà de toutes les critiques, fondée ou pas. Une nouvelle génération de dirigeants s’installe, celle des congolais naturalisés, les congolais pur-sang ayant montrés leurs limites. Wait and see mais gardons l’espoir.
2012/11/1, pierre <piesyvia@yahoo.com:
Il s’agit de JEAN BAMANISA SAIDI, homme d’affaires « congolais » http://bamanisajean.unblog.fr/actualites/
MINDELE BAKOMI KOZONGA MUKE MUKE. BOKEBA
Pierre Sivyaleghana
Also our book on http://www.amazon.com
http://thehurdlesofdoctor.webs.com/
Cléophas LYANZALA KAKULE N.
Tel. : +243) 099 70 14 543 – 081 22 33 660
593B Av. MIZUMI / Q. GOLF METEO
LUBUMBASHI / R.D. CONGO
LinkedIN : http://www.linkedin.com/pub/cléophas-lyanzala/47/6b0/a15
Cléophas LYANZALA KAKULE N.
Tel. : +243) 099 70 14 543 – 081 22 33 660
593B Av. MIZUMI / Q. GOLF METEO
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Le Congo n’appartiendra jamais a personne d’autre qu’au Congolais eux-meme. Si les femmes vont a la guerre ce ne qu’une partie remise les Congolais sont entrain de comprendre le desastre avenir. Et un jour nous finirront par nous en sortir.
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